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Son œuvre est grande par la pensée (il y a chez Vigny autant de philosophie que de poésie). Elle est faite de recueils poétiques (Poèmes antiques et modernes, 1826 ; Les Destinées, 1864 édition posthume) ; de pièces de théâtre (ex. Chatterton, 1835) ; de romans (ex. Cinq-Mars, 1826 ; Servitude et grandeur militaires, 1835).
Barbey d'Aurevilly le tient pour le premier des Romantiques ; et l'on admire toujours La Maison du Berger, puissant poème des Destinées et l'un des plus beaux chants de la langue française.
Son nom a été donné à une rue et à la salle de sports du quartier Degroote.
Gérald Mennesson